L’oeil de BUNUEL
Thème: Histoire. Par: Fernando Cesarman…Grâce à la méthode psychanalytique, Cesarman se glisse parmi les images créées par Bunuel comme dans les rêves d’un patient pour y dénicher les fils de la raison d’un rêveur et non les nœuds de la société qui le rejette. Il plonge dans l’œil de la cmaéra de Bunuel dont le fil doit être, selon sa conception, aussi tranchant qu’une lame de rasoir, un stylet, un scalpel : car le regard du cinéma doit être une blessure incicatrisable. Fernando Cesarman , professeur à l’université nationale autonome de Mexico, membre de l’Association mexicaine de Psychanalyse, est l’auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet.
11,65€
ISBN: 9782716310284
Titre: L’oeil de BUNUEL
Parution: 07/05/1982
Nombre de pages: 274
Format: 14x22
Livraison express
Frais de ports offerts à partir de 76€ en France métropolitaine
-
L’Histoire de la chirurgie du silex à nos jours Par: Docteur Pierre-Louis Choukroun 24,90€
Comme en témoigne la découverte d’ossements et d’outils, la chirurgie a connu depuis la plus haute Antiquité, un cheminement fait de luttes, de hasards, parfois d’erreurs, mais aussi de magnifiques avancées qui ont construit son Histoire, jalonnée de tâtonnements, de progrès et parfois de reculs.
De Galien avec ses importantes recherches en anatomie, à Ambroise Paré, en passant par Vésale, Léonard de Vinci ou des chercheurs persévérants tels qu’Harvey, Malpighi, et bien d’autres, tous ces hommes ont contribué à la construction de l’édifice qu’est la chirurgie d’aujourd’hui.Reconnus comme médecins à part entière au début du XVIIIe siècle seulement en France, puis rapidement dans l’Europe entière grâce au rôle déterminant du roi Louis XIV, les chirurgiens verront leurs interventions limitées du fait de l’absence d’anesthésie, et de la mortalité par infection.
Au XIXe siècle, deux découvertes essentielles verront le jour : l’anesthésie (Wells et Morton) et l’asepsie (Semmelweis, Pasteur et Lister). Au XXe siècle se développeront la lutte contre l’infection, la transfusion sanguine, l’imagerie médicale, le laser chirurgical et les greffes d’organes.
Une autre révolution, celle de la chirurgie endoscopique s’imposera à partir des années 80, grâce aux progrès de la fibre optique, de la caméra et de l’informatique. Les dix premières années de ce XXIe siècle seront particulièrement riches en innovations – chirurgie robotique, téléchirurgie, nanotechnologies – et en découvertes spécifiques dans chacune des disciplines chirurgicales.
La chirurgie de demain nous promet des révolutions que l’on ne soupçonnait pas il y a
une trentaine d’années, avec la possibilité d’intervenir au sein même de la cellule, de son
noyau et dans les chromosomes eux-mêmes ! -
Histoire de l’ukraine – Des origines à nos jours – Par: Arkady Joukovsky 28,40€
Après une longue éclipse au cours de laquelle elle fut occultée par l’Union Soviétique, l’Ukraine apparaît à nouveau aujourd’hui sur le devant de la scène internationale : sa population et sa superficie, sensiblement égales à celles de la France, la qualification de ses hommes, la richesse de ses ressources naturelles, sa situation géographique à l’autre extrémité de l’Europe, tout l’appelle à jouer un rôle déterminant dans le nouveau paysage européen qui se dessine.
Comprendre ce qu’est l’Ukraine implique de connaître son histoire, souvent tragique, mais aussi riche des vertus de son peuple, attaché à sa terre et à sa culture, conscient d’avoir été le berceau de l’ensemble de la civilisation slave.L’auteur de cet ouvrage, Arkady Joukovsky, né en 1992 à Tchernivtsi (Ukraine), a enseigné l’histoire de l’Ukraine à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales (INALCO) à Paris (de 1960 à 1987) et à l’Université Ukrainienne Libre de Munich.
Il est l’auteur de monographies sur le métropolite de Kiev Petro Mohyla et sur l’Académie de Kiev (1615-1817).
Par ses multiples travaux, il a contribué à resserrer les liens entre l’Ukraine et la France.
Actuellement, il est le Président de la Société Scientifique Chevtchenko (Sarcelles), et membre étranger de l’Académie des Sciences d’Ukraine.Étroitement liée à l’élaboration de la première édition, fut Irène Popowyez ; tandis qu’à la présente édition, l’auteur a bénéficié d’aide de O. Koieche Ruk, M. Maslow, V. Matyeva, I. Stepantchouk, N. Bilas, V. Guley.
Il remercie également l’ambassadeur d’Ukraine en France, S. E. Yuriy Sergevey, ainsi que le personnel de l’Ambassade d’Ukraine pour leur encouragement dans la publication de ce livre.L’auteur et les Éditions du Dauphin qui publient cette histoire de l’Ukraine espèrent qu’elle trouvera de nombreux lecteurs en France et dans d’autres pays francophones.
-
Histoire des maisons closes Par: Monica Garcia Masségué 26,00€
Maison close, bobinard, bains, boxon, clandé, claque, lupanar, maison de mauvaise réputation, maison du diable, maison de joie… nombreux et variés sont les noms donnés à cet endroit où se réaliseront les plus secrètes fantaisies sexuelles de personnalités inconnues, et plus connues – des milieux politique, industriel et artistique – qui choisiront les bordels les plus sélectifs pour y trouver de l’inspiration et de la compréhension, leur propre version de l’amour, mais aussi un endroit propice aux affaires.
De l’Antiquité grecque aux maisons les plus professionnelles du XXe siècle, les maisons closes du monde entier appartiennent à l’histoire de l’humanité tout entière. …De la prostitution sacrée dans l’Antiquité à l’organisation hautement bénéficiaire que l’Église et l’État pratiquaient au Moyen Âge, le plus vieux métier du monde s’est exercé dans l’enceinte et hors des murs du lupanar selon les événements de l’Histoire, et l’évolution économique et sociale des pays.
En France, les maisons closes fermeront en 1946.
Aujourd’hui le commerce du sexe s’est largement amplifié rendant incontrôlable tous ses dangers malgré le message alarmant de toutes les associations protectrices à leur encontre.
Nous vous invitons à découvrir dans ce livre les secrets des bordels les plus célèbres de l’histoire. Chaque maison close ayant, selon son pays et son histoire, sa propre réputation, son niveau de raffinement et sa culture.Un ouvrage d’informations sur ce thème toujours d’actualité.
Monica Garcia Massagué est journaliste spécialisée dans le cinéma.
Elle est titulaire d’une licence en publicité et relations publiques. Elle publie ici son troisième livre. -
Les poupées de Modes & Travaux – Depuis 1951 Par: Elisabeth Chauveau Elyane Jamard-Lacroix Annick Buchy 29,00€
C’est en 1919 qu’Edouard Boucherit créa, avec son épouse Renée, une nouvelle revue féminine appelée Modes & Travaux et dont le premier numéro parut en novembre dans leurs bureaux 10, rue de la Pépinière à Paris. Au lendemain de la Grande Guerre, le journal aura pour ambition d’aider la femme à devenir une parfaite maîtresse de maison. Il suit de près la mode et ses évolutions. Mais, dans les années trente, la crise économique mondiale se fait rapidement sentir et la couture » à la maison » va se développer : Modes & Travaux est alors en plein essor. Pendant la Seconde Guerre mondiale, la revue donnera d’astucieux conseils à ses lectrices, mais, avec les conditions de travail difficiles, le journal paraîtra plus ou moins régulièrement. À la Libération, le mensuel va reprendre ses activités de manière régulière et, avec le Baby-boom, va décider d’étendre son audience aux petites filles de ses lectrices. Ainsi, à partir de 1951, Modes et Travaux créa une page réservée aux petites filles et intitulée « Le journal des petites filles de Modes et Travaux « . Feuille simple à l’origine, elle deviendra très vite une double page, et imprimée en noir et blanc dans les années 50, elle sera en couleurs au début des années 60. Ce magazine proposait des patrons pour habiller des poupées, mais offrait également des vêtements tout faits ainsi que des accessoires divers comme des chaussures, chaussettes, sacs à main, etc..
Parallèlement au développement de l’industrie du jouet, c’est en mars 1951 qu’apparaît pour la première fois la 1re poupée Modes & Travaux (fabrication Nobel), Françoise que l’enfant pourra habiller grâce aux explications du journal ; elle pourra également se procurer les patrons à la taille de la poupée et même acheter des vêtements tout faits. En août 1954, la poupée Françoise annonce aux jeunes lectrices la « naissance d’un petit frère »: Michel. Puis, en 1958, Modes et Travaux proposa une troisième poupée, au corps élancé, et portant perruque : Marie-Françoise.
En 1963, PetitCollin rachètera la marque Nobel et fabriquera jusqu’à nos jours les poupées M&T. Sa dernière sera une Emilie, en 1986. Les poupées M&T sont toujours fabriquées à Etain (55) par la société Petitcollin.
-
Savorgan de Brazza Par: René Maran 14,20€
Ce livre est l’histoire de Pierre Savorgnan de Brazza (1852-1905), italien naturalisé français, grand explorateur du début du siècle à qui l’on doit le nom de la ville de Brazzaville (Congo).
Il explora la rive droite du fleuve Congo ouvrant la voie à la colonisation française en Afrique équatoriale. Sa bonhomie, son charme, son approche pacifique des Africains faisaient de Brazza une figure d’exception parmi ses contemporains qui exploraient l’Afrique au nom des grandes puissances occidentales.
Les populations locales de Brazzaville ont rendu récemment hommage à Savorgan de Brazza en élevant un mausolée à son attention. Ces cendres y furent également transférées en octobre 2006.René Maran (1887-1960), remporte le 1er Prix Goncourt attribué à un noir en 1921 avec son livre intitulé « Batouala ». Aîné d’Aimé Césaire (1913-2008), homme de lettres Martiniquais, et de Léopold Sédar Senghor (1906-2001),poète, écrivain et homme politique sénégalais. René Maran demeure le grand oublié de cette littérature Antillaise que l’on nomme aujourd’hui « francophone ». Alors que Léopold-Sédar Senghor en a lui-même fait le « précurseur de la négritude ».
Batouala, roman qu’il juge « trop noir et non-européen » pour les Français le fera connaître, et déclenchera un vent de scandale notamment auprès des responsables de l’administration coloniale qui interdit la diffusion du livre en Afrique (Maran sera contraint de démissionner de son poste).Fidèle corps et âme à la France (il voudra même s’engager dans l’armée lors de la première guerre mondiale), il n’en demeure pas moins critique du système colonial, système qui empêcha son père d’obtenir la Légion d’honneur. Sa fonction d’administrateur des colonies le met dans une position délicate : il se doit de servir son pays qu’il chérit tant, mais ne peut s’empêcher de se sentir solidaire des peuples d’Afrique équatoriale française. Ce sentiment de double appartenance sera cristallisé dans son roman « Un homme pareil aux autres ».